De plus en plus d’initiatives et de projets sont développés pour trouver ensemble les solutions de l’Ehpad de demain. Partir du terrain et de la réalité vécue par le personnel et les résidents semble aujourd’hui assez évident pour améliorer le quotidien de tous dans les établissements. Le design qu’il soit des usages ou social relève d’une démarche de co-construction qui mobilise les expertises et l’expérience de toutes les parties concernées pour améliorer la qualité de vie. L’objectif est de penser ou de repenser le cadre de travail (lieu de soin) et la résidence (lieu de vie). Remettre le soin et l’humain au cœur de la vie en Ehpad. L’enjeu de cette table ronde est de revenir sur les principes du design des usages et social et de présenter des exemples concrets de projets qui apportent des solutions différentes et bénéfiques pour les établissements.
Après une crise sanitaire qui n’a pas manqué de relever les limites de l’hébergement pour séniors dans les médias, le couteau s’est à nouveau enfoncé dans la plaie avec la sortie du livre « Les Fossoyeurs » et les pratiques scandaleuses qu’il dénonce et attribue à certains groupes d’EHPAD. Ce que la presse et les lanceurs d’alertes diront rarement, parce qu’ils n’en savent rien, c’est que l’équation à résoudre pour garantir un projet d’hébergement et de soins de qualité est très compliquée, que le nombre de facteurs qui entrent en jeu est considérable, que personne n’est à l’abri du faux pas... même avec les meilleures intentions. Dès lors, comment porter un projet d’établissement pour séniors en l’orientant résolument vers la qualité de vie tant pour celui qui y habite que celui qui y travaille ? Des EPHAD belges se sont lancés dans ce défi depuis quelques années, avec succès. Ces institutions se sont réinventées pour se transformer en véritables lieux de vie. Changement de structure, de culture, de pratiques… pour l’épanouissement des résidents, des familles et des équipes. Le propos entend dévoiler le parcours de ces établissements, non pas comme un énième success case soit disant atteignable en un claquement de doigts, mais comme une métamorphose faite d’étapes successives. Celles-ci les ont amenés à se confronter à leurs habitudes, à dépasser les cadres de références et à proposer des alternatives qui donnent envie
La nouvelle démarche d’évaluation des ESSMS est basée sur le nouveau référentiel national de la Haute Autorité de Santé. Il se structure en 9 thématiques telles que le droit des personnes, l’accompagnement à l’autonomie, la bientraitance, et 157 critères. Que vous travailliez en EHPAD, en résidence autonomie ou en SSIAD/ SAAD, quelle que soit votre fonction au sein de votre structure, vous allez être concernés. Vous vous demandez quels en sont les enjeux et comment utiliser cet outil pour préparer votre évaluation : on vous propose une présentation concrète et pragmatique pour tout comprendre du référentiel, la méthodologie à mettre en œuvre et l’implication de l’ensemble des parties prenantes : - Le référentiel, son contenu, ses piliers, ses axes clés : mieux se l’approprier en s’appuyant sur les bonnes pratiques et la réglementation - Les critères standards et impératifs et leur méthode d’évaluation : comprendre leur plus-value, ce qui est attendu et ce qu’il faut mettre en place - Les entretiens avec les résidents et les professionnels qui accompagnent : ce qui est recherché, comment les organiser et les préparer. En 60 minutes, vous disposerez des clés pour vous préparer et engager une démarche d’évaluation dans une dynamique d’amélioration continue de la qualité et de l’accompagnement !
« les robots ne peuvent pas remplacer les soignants: en sommes-nous si surs ? qu’est ce qui qualifie l’humain versus la technologie face à la personne fragile? qui est performant, aujourd’hui, pour observer et diagnostiquer? Qui traite bien? la vocation existe t’elle encore? pourquoi abandonnons-nous les moments de vie (animations, etc) aux machines? Et si l’humain préparait lui-même sa propre disparition du champ du «prendre soin»...Et si la personne fragile avait intérêt à ce qu’il en soit ainsi ? »
La consultation et la participation des personnes âgées aux décisions qui les concernent est de plus en plus d’actualité. Si tout le monde s’accorde à penser que cet aspect de notre exercice professionnel est fondamental, force est de constater qu’il peut s’avérer difficile à mettre en œuvre dans un quotidien en tension. Pour autant, des expériences organisationnelles existent et favorisent le déploiement de formes de participation tout au long de l’année, au bénéficie des personnes âgées comme des professionnels.
Depuis la définition du modèle de l’EHPAD il y a plus de 20 ans, le métier de médecin coordonnateur est l’un des métiers qui a le plus évolué. De la coordination des soins à la prévention de l’avancée en âge autour d’une plateforme de services, en passant par l’évaluation gériatrique, la prescription en situation exceptionnelle, la gestion des risques, en particulier infectieux, les actions de prévention,… les missions du médecin coordonnateur ont souvent progressé en situation de crise : contention ? prescription ? prévention ? isolement infectieux ? vaccination… Lorsque des logiques contradictoires s’affrontent, le médecin coordonnateur reste le garant d’une démarche de prise en soin éthique conforme à son engagement hippocratique, au risque parfois d’être perçu comme résistant, voire transgressif…
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